Par le passé, la distinction entre les caillebotis en acier électrozingué et les caillebotis en acier galvanisé à chaud reposait principalement sur l'inspection sensorielle des paillettes de zinc. Les paillettes de zinc désignent l'aspect des grains formés après le retrait du caillebotis en acier galvanisé à chaud du nouveau récipient, lorsque la couche de zinc refroidit et se solidifie. Par conséquent, la surface des caillebotis en acier galvanisé à chaud est généralement rugueuse, avec des paillettes de zinc typiques, tandis que celle des caillebotis en acier électrozingué est lisse. Cependant, avec l'amélioration des nouvelles technologies, les caillebotis en acier galvanisé à chaud ne présentent plus les caractéristiques typiques des paillettes de zinc ordinaires. Parfois, la surface des caillebotis en acier galvanisé à chaud est plus brillante et plus réfléchissante que celle des caillebotis en acier électrozingué. Il arrive parfois qu'entre deux caillebotis en acier galvanisé à chaud et électrozingué, il soit difficile de distinguer les caillebotis en acier galvanisé à chaud des caillebotis en acier électrozingué. Par conséquent, les deux ne peuvent pas être distingués par leur apparence à l’heure actuelle.
Il n'existe aucune méthode permettant de distinguer ces deux méthodes de galvanisation, ni en Chine ni à l'international. Il est donc nécessaire d'étudier la méthode permettant de les distinguer, en partant de la théorie. Identifier la différence entre les deux à partir du principe de galvanisation.
, et les distinguent essentiellement de la présence ou de l'absence d'une couche d'alliage Zn-Fe. Une fois confirmée, elle doit être exacte. Le principe de la galvanisation à chaud des caillebotis en acier consiste à immerger les produits en acier, après nettoyage et activation, dans du zinc liquide en fusion. Grâce à la réaction et à la diffusion entre le fer et le zinc, un revêtement d'alliage de zinc à forte adhérence se dépose à la surface des caillebotis en acier. La formation de la couche de galvanisation à chaud consiste essentiellement à former un alliage fer-zinc entre la matrice de fer et la couche externe de zinc pur. Sa forte adhérence détermine également son excellente résistance à la corrosion. D'après sa structure microscopique, elle se présente sous la forme d'une structure bicouche.
Le principe de l'électrozingage des caillebotis en acier consiste à utiliser l'électrolyse pour former une couche de métal ou d'alliage uniforme, dense et bien adhérente à la surface des caillebotis, puis à former un revêtement sur la surface de ces derniers afin de les protéger de la corrosion. Le revêtement électrozingué utilise donc le mouvement directionnel du courant électrique de l'électrode positive vers l'électrode négative. Le Zn2+ présent dans l'électrolyte nuclée, croît et se dépose sur le substrat de la grille en acier sous l'action du potentiel pour former une couche galvanisée. Ce processus ne produit aucune diffusion entre le zinc et le fer. L'observation microscopique révèle une couche de zinc pur.
En substance, la galvanisation à chaud présente une couche d'alliage fer-zinc et une couche de zinc pur, tandis que l'électrozingage ne présente qu'une couche de zinc pur. La présence ou l'absence d'une couche d'alliage fer-zinc dans le revêtement est le principal critère d'identification du procédé de revêtement. Les méthodes métallographiques et de DRX sont principalement utilisées pour détecter le revêtement et distinguer l'électrozingage de la galvanisation à chaud.


Date de publication : 31 mai 2024